Titre VO : Soulless The parasol protectorate : Book the first
Auteur : Gail Carriger (USA)
Traduction par Sylvie Denis
Publié chez Le livre de poche Collection Orbit
Date de publication : 18 avril 2012
Genre : Bit-Lit/Fantastique
Pages : 432
Isbn-13 : 978-2-253-13488-6
Prix : 7,10€
Résumé :
Miss Alexia Tarabotti doit composer avec quelques contraintes
sociales. Primo elle n’a pas d’âme. Deuxio, elle est toujours
célibataire. Tertio, elle vient de se fait grossièrement attaquer par un
vampire qui ne lui avait même pas été présenté ! Que faite ? Rien de
bien, apparemment, car Alexia tue accidentellement le vampire. Lord
Maccon – beau et compliqué, écossais et loup-garou – est envoyé par la
reine Victoria pour démêler l’affaire. Des vampires indésirables s’en
mêlent, d’autres disparaissent, et tout le monde pense qu’Alexia est
responsable. Mais que se trame-t-il réellement dans la bonne société
londonienne ?
Avis :
Ce livre est un rafraîchissement en bit-lit cela change de ce que j’ai déjà lu de ce genre et que dire que j’ai adoré.On se retrouve avec Alexia Tarabotti et Je suis tombé sous le charme de cette héroïne qui n’a pas sa langue dans sa poche et qui a le mérite d’être intelligente et cultiver tout en étant pour son âge déjà vieille fille à 26 ans et non mariée. J’ai beaucoup ri avec ses répliques surtout avec Lord Maccon loup-garou à la tête du BUR, la police surnaturelle et alpha de la ville dont j’ai eu un coup de cœur pour le personnage, ils se détestent mais en même temps ne peuvent pas s’empêcher de se voir tout en essayant d’ignorer leur attirance surtout pour Alexia.
Ce que j’ai bien aimé aussi c’est que dans cette époque Victorienne chaque être surnaturel a sa place que ce soit : loup-garou, vampire ou fantôme chacun sait où il doit être.
Et aussi du fait que l’héroïne n’a pas d’âme et quelle différence cela fait aves les autres êtres surnaturels. J’ai bien aimé aussi les personnages secondaires auxquels je me suis attaché aussi car sans eux je crois que l’histoire ne serait pas aussi prenante ils rajoutent une petite note de fraîcheur.
Gail Carriger nous transporte vraiment dans son univers steampunk (dont je commence à aimer de plus en plus le genre) et d’aventure bien à elle, l’écriture est très addictive dès qu’on commence le livre on ne veut plus s’arrêter même si son style est un peu spécial on ne fait qu’en redemander.
J’ai été séduite par cette histoire qui se situe dans la Londres Victorien du 19ème siècle est le fait de retrouver des descriptions de machine sans pour autant que cela devient barbant et qui se font parfaitement dans ce récit.
Extrait :
"- Mais enfin, lord Maccon, vous êtes tout nu ! dit Alexia.
Cette dernière indignité, après la longue liste de ce qu’elle avait subi au cours d’une unique soirée de torture, la scandalisa au-delà du raisonnable.
Le comte de Woolsey était en effet totalement nu. Un fait qui ne semblait pas le perturber outre mesure, mais mademoiselle Tarabotti ressentit le besoin urgent de fermer les yeux très fort et de penser à des asperges, ou à autre chose de tout aussi ordinaire…"
Cette dernière indignité, après la longue liste de ce qu’elle avait subi au cours d’une unique soirée de torture, la scandalisa au-delà du raisonnable.
Le comte de Woolsey était en effet totalement nu. Un fait qui ne semblait pas le perturber outre mesure, mais mademoiselle Tarabotti ressentit le besoin urgent de fermer les yeux très fort et de penser à des asperges, ou à autre chose de tout aussi ordinaire…"
Pour conclure, je remercie fane de bouquins de m’avoir enfin décidé de le lire et je ne le regrette pas. Même si ça n’a pas été un coup cœur son a failli l’être.
Je vous conseille vraiment ce livre car il vous fera passer un bon moment autant avec les personnages qu’avec l’histoire en elle-même. ;) Moi en tout cas j'ai hâte de savoir la suite des aventures d'Alexia :)
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